À Propos
Qui je suis ?
Philippine Landreau
Enseignante indépendante, j’interviens auprès des propriétaires et leur cheval directement chez eux ou dans leur écurie pour les accompagner dans leur pratique et les aider à évoluer ensemble.
Je suis cavalière passionnée, amoureuse de la nature et des activités d’extérieur et propriétaire de 2 chevaux : Asa, 14 ans et Kador 4 ans.
Je me déplace depuis le secteur de St Emilion/Castillon la Bataille (33350) pour donner des cours, animer des stages et travailler des chevaux sur diverses problématiques.
Je suis également présidente d’une association pour la promotion d’une appréhension du cheval respectueuse de son intégrité physique et morale par des modes d’hébergement adaptés et une approche comportementale. L’association permet des actions de formation sur la connaissance autour du cheval et l’accueil en pension d’une poignée de chevaux en rotation de patûres, au plus près des besoins fondamentaux du cheval.
Mon parcours
Jeunesse et rencontre avec le cheval
Née et élevée en ville par une famille de non équitants, je n’ai pourtant jamais été citadine dans l’âme. J’ai toujours été attirée par la nature et les animaux et la sensation de faire partie d’un tissu vivant dans un immense univers. J’aime me dépenser physiquement, observer la beauté de la nature et interagir avec les animaux.
Mes premières expériences équines démarrent très tôt. A 5 ans je suis initiée à mes premiers cours de poney et j’ai tout de suite un véritable feeling.
Sans pratiquer de façon forcément régulière, durant une quinzaine d’années, je continue à accumuler les expériences avec les chevaux, et surtout, ma tante me transmet sa passion et son savoir autour du cheval. En parallèle de ma scolarité, je pars le plus souvent possible passer du temps en immersion avec les chevaux dans les montagnes, en Ariège, mon département de cœur. Je participe régulièrement à des camps de randonnée équestre et prends également des cours d’équitation en centre équestre.
Ma découverte de l’approche éthologique ou du horsemanship commence très tôt et je me construis entièrement dans la réflexion autour de cette philosophie du cheval.
Ma pratique en club me permet de développer ma technique équestre et de passer mes galops mais rapidement, je me retrouve en rupture avec les méthodes des centres équestres dits classiques.
C’est la raison pour laquelle, pendant une longue période, je choisis de monter moins mais uniquement dans un cadre qui me parait respectueux du cheval.
Être propriétaire
Très tôt j’ai nourri le rêve de posséder mon propre cheval avec lequel nouer une relation indéfectible et de travailler auprès des chevaux. Mon BAC en poche, j’ai l’occasion de passer ce cap : c’est ainsi que ma ponette Asa entre dans ma vie, alors âgée d’un an et demi. Je me suis donnée à fond dans notre relation et j’ai pu vivre une amitié extraordinaire. Durant des années nous nous sommes baladées en extérieur en parfaite liberté. Il faut dire que c’était une énigme pour les passants, à l’époque, l’approche éthologique arrivait à peine des Etats-Unis. En France, Elisabeth de Corbigny et Andy Booth créaient tout juste leur école mais très peu de monde avait déjà pu voir des images de chevaux évoluant en liberté avec l’homme.
La relation avec ma jument est l’une des plus belles choses qui m’ait été donné de vivre. Après plus de 10 années passées ensemble, nous continuons d’écrire notre histoire.
En 2022, les planètes s’alignent et je fais également l’acquisition d’un jeune cheval, Kador.
Depuis ses 2 ans je le forme pour devenir mon 2ème compagnon d’aventure équestre. Le tout début d’une autre belle histoire.
Formation
Le BAC en poche, je passe ensuite une Licence en Langues Etrangères Appliquées. Après cela, je décide de me former pour de bon dans le milieu équestre pour être diplômée dans l’encadrement et l’enseignement. Au cours de ce parcours de formation, j’effectue différentes périodes de stage et d’immersion dans des structures variées. Des élevages, aux centres équestres en passant par les écuries de propriétaires, j’accumule un maximum d’expérience.
Je passe mon ATE sur les sentiers Corses et mon BFEE1 au Haras de la Cense, puis le BPJEPS au Lycée Agricole Saint Antoine à Bois (17). Enfin, je retourne au Haras de la Cense pour le BFEE2.
Parcours & expériences
De nature très autodidacte, je me documente avec ferveur tout au long de mon parcours sur tous les sujets se rapportant au cheval. Je lis des livres, des articles de blogues, je regarde, décortique, des vidéos et DVD pour accumuler du savoir sur tout ce qui touche de près ou de loin au cheval. Je saisis toutes les occasions qui se présentent pour pratiquer, essayer, confronter différentes méthodes. Je participe activement dans les différentes structures où je travaille, développant ma propre expertise sur de nombreux sujets, autour du cheval mais surtout et avant tout sur le comportement et la technique équestre.
J’ai la chance d’assister en auditeur libre à de nombreux stages sur l’approche éthologique auprès d’Elisabeth de Corbigny (élève John Lyons) et ses disciples (Elise Proust, Elisabeth Mammoliti, Marc Adeneus) mais aussi d’instructeurs Parellistes (Marie Mélanie Guibert) ainsi qu’auprès d’Andy Booth et des instructeurs du Haras de La Cense, ou encore très récemment, de Walter Badet. J’ai également eu l’occasion de suivre une partie du cursus de l’Ecole de Légèreté Philippe Karl avec l’instructrice Sandra Ciano.
Dans les structures où j’exerce, je donne cours à des élèves de tous niveaux, je rencontre des profils de chevaux et de cavaliers très variés avec des passés plus ou moins complexes. De plus, je débourre et travaille nombre de chevaux, ce qui me procure une véritable expérience de terrain.
En 2022, EQUI’PHILE voit le jour ! C’est le début d’une nouvelle façon de travailler, entièrement autonome, au service des cavaliers et de leurs chevaux.
Aujourd’hui, je peux mettre toute mon expérience à profit pour un accompagnement de toutes les personnes sur la voie du cheval, en quête d’un mieux vivre avec le cheval. Cela tout en continuant à alimenter ma formation parce que c’est avant tout ce qui me motive à continuer et qui me permet de proposer un accompagnement qui reste moderne et pertinent !
Pssst... Mais au fait, pourquoi "Equi'Phile" ???
Eh bien c’est un jeu de mot entre mon prénom « Philippine » et mon domaine, l’équin.
NB : l’étymologie de mon prénom qui n’est autre que « celle qui aime les chevaux », rien que ça !
Comme pour cinéphile, ou aquariophile, le suffixe « phile » signifie « qui aime ».
La consonance est également celle du mot « feel » en anglais qui signifie « ressentir » ou « éprouver ».
